Préjudice d’affection (en cas de survie de la victime directe)
Préjudice moral subi par certains proches, parents ou non, qui justifient d’un lien affectif réel, au contact de la souffrance de la victime directe.
Ce poste peut inclure le retentissement pathologique objectivé que la perception du handicap de la victime a pu entraîner chez certains proches.